9 compétences essentielles que les enfants devraient apprendre

autonomie

Les enfants dans le système scolaire ne sont pas bien préparés pour le monde de demain.

Comme toute personne qui est passée par un monde des affaires puis par un monde gouvernemental pour arriver au monde connecté toujours en évolution, je sais comment le monde d’hier devient rapidement  illusoire. J’ai été formé dans l’industrie journalistique, où nous pensions tous que nous serions éternellement à la page, et dont je crois maintenant qu’elle suivra la même voie que les chevaux et les carrioles.

Malheureusement, j’ai été éduqué dans un système scolaire qui croyait que le monde dans lequel il existait resterait globalement le même, avec des changements mineurs niveau mode. Nous étions formés à un ensemble de compétences qui était basé sur les emplois qui avaient le plus la cote dans les années 80, pas sur ce qui pourrait arriver dans les années 2000.

Et cela avait du sens quelque part, étant donné que personne ne pouvait réellement savoir ce que serait la vie dans 20 ans. Imaginez les années 80, quand les ordinateurs étaient encore très jeunes, quand les fax étaient la technologie de pointe, quand internet comme nous le connaissons n’était qu’un rêve d’écrivains de science-fiction comme William Gibson.

Nous n’avions aucune idée de ce que le monde avait en magasin pour nous.

Et voilà le truc : nous n’en avons toujours aucune idée. À aucun moment. Nous n’avons jamais été bons pour prédire notre avenir, et donc élever et éduquer nos enfants comme si nous avions la moindre idée de ce que le futur réservera n’est pas la notion la plus intelligente.

Comment alors préparer nos enfants pour un monde qui est aussi imprévisible, inconnu ? En leur apprenant à s’adapter, à gérer le changement, à être préparé pour n’importe quoi en ne les préparant pas à quelque chose en particulier.

Cela nécessite une approche totalement différente pour élever et éduquer des enfants. Cela demande de laisser nos vieilles idées à la porte, et de tout réinventer.

Ma magnifique femme Eva (oui, je suis un homme très chanceux) et moi faisons partie de ceux qui le font déjà. Nous faisons l’éducation de nos enfants à domicile – ou plus précisément, nous les déséduquons. Nous leur apprenons à apprendre par eux-mêmes, sans que nous soyons là à leur servir les connaissances et à les tester sur ces connaissances.

Bien sûr c’est une vaste frontière, et la plupart d’entre nous qui expérimentons la déscolarisation admettrons que nous n’avons pas toutes les réponses, qu’il n’y a pas de « meilleure méthode ». Mais nous savons aussi que nous apprenons en même temps que nos enfants, et que ne pas savoir peut être une bonne chose – une opportunité de découvrir, sans se fier à des méthodes préétablies qui pourraient ne pas être optimales.

Je ne vais pas trop aborder les méthodes ici, car je les trouve moins importantes que les idées. Une fois que vous avez des idées intéressantes à tester, vous pouvez découvrir une quantité illimitée de méthodes, et donc mes méthodes définies seraient trop restrictives.

À la place, regardons un ensemble de compétences essentielles que je pense que les enfants devraient apprendre, qui les prépareraient au mieux pour tout type de monde dans le futur. Je base cela sur ce que j’ai appris dans trois branches différentes, en particulier le monde de l’entrepreneuriat en ligne, de la publication en ligne, de la vie en ligne… et plus important encore, ce que j’ai appris concernant l’apprentissage et le travail et la vie dans un monde qui ne cessera jamais de changer.

1. Poser des questions. Ce que je veux le plus pour nos enfants, en tant qu’apprentis, est d’être capables d’apprendre par eux-mêmes. Pour pouvoir apprendre n’importe quoi seul. Parce que s’ils le peuvent, alors nous n’avons pas besoin de tout leur apprendre – quoi qu’ils aient besoin d’apprendre à l’avenir, ils peuvent le faire seul. La première étape dans l’apprentissage du fait de s’enseigner n’importe quoi est d’apprendre à poser des questions. Heureusement, les enfants font cela naturellement – notre espoir est simplement d’encourager ça. Un super moyen d’y arriver est de donner l’exemple. Quand vous et votre enfant rencontrez quelque chose de nouveau, posez des questions, et explorez les réponses possibles avec votre enfant. Quand il pose des questions, récompensez l’enfant au lieu de le punir (vous seriez surpris du nombre d’adultes qui découragent le questionnement).

2. Résoudre les problèmes. Si un enfant peut résoudre des problèmes, il peut faire n’importe quel travail. Un nouveau travail peut être intimidant pour chacun d’entre nous, mais en réalité ce n’est qu’un autre problème à résoudre. Une nouvelle compétence, un nouvel environnement, un nouveau besoin… ce sont simplement des problèmes à résoudre. Enseignez à votre enfant à résoudre des problèmes en lui montrant comme exemple une méthode de résolution de problèmes simples, puis en lui permettant d’en faire des très faciles par eux-mêmes. Ne résolvez pas immédiatement tous les problèmes de votre enfant ; laissez-le tripatouiller un peu et essayer différentes solutions possibles, et récompensez-le de tels efforts. Finalement, votre enfant développera sa confiance dans ses capacités à résoudre des problèmes, et alors il n’y a rien qu’il ne pourra faire.

3. S’attaquer à des projets. En tant qu’auto entrepreneur en ligne, je sais que mon travail est une suite de projets, parfois liés, parfois petits et parfois grands (qui sont en fait un groupe de projets plus petits). Je sais aussi qu’il n’y a pas un projet auquel je ne peux pas m’attaquer, parce que j’en ai déjà tellement fait. Cet article est un projet. Écrire un livre est un projet. Vendre le livre est un autre projet. Travaillez sur des projets avec votre enfant, faites-lui voir comment il y est arrivé avec vous, puis faites-lui en faire encore et encore par lui-même. Au fur et à mesure qu’il prend confiance, laissez-le s’attaquer à plus de projets seul. Bientôt, son apprentissage sera une suite de projets qui le passionnent.

4. Trouver sa passion. Ce qui me fait avancer n’est pas les objectifs, pas la discipline, pas la motivation extérieure ou la récompense… c’est la passion. Quand je suis si excité que je ne peux pas m’arrêter de penser à quelque chose, je vais inévitablement m’y plonger totalement, et la plupart du temps je vais terminer le projet et adorer le faire. Aidez votre enfant à trouver les choses qui le passionnent ; il est question d’essayer tout un tas de choses, de trouver celles qui lui plaisent le plus, de l’aider à vraiment aimer cela. Ne découragez aucun intérêt, encouragez-le. Ne lui en retirez pas tout le plaisir non plus, rendez cela gratifiant.

5. Indépendance. On devrait apprendre aux enfants à se débrouiller de plus en plus par eux-mêmes. Un petit peu à chaque fois, bien sûr. Encouragez-les lentement à faire les choses par eux-mêmes. Apprenez-leur comment faire, servez de modèle, aidez-les à le faire, aidez-les moins, puis laissez-les faire leurs propres erreurs. Donnez-leur de la confiance en eux en les laissant obtenir quelques succès, et laissez-les résoudre les échecs. Une fois qu’ils apprennent à être indépendants, ils apprennent qu’ils n’ont pas besoin d’un professeur, d’un parent, ou d’un patron pour leur dire quoi faire. Ils peuvent se débrouiller seuls, être libres, et trouver seul la direction dont ils ont besoin.

6. Être heureux par eux-mêmes. Trop de parents parmi nous couvons nos enfants, les gardons en laisse, faisons qu’ils comptent sur notre présence pour être heureux. Quand l’enfant grandit, il ne sait pas comment être heureux. Il doit immédiatement s’attacher à une petite amie ou à des amis. S’ils échouent à cela, ils trouvent le bonheur dans d’autres choses extérieures – le shopping, la nourriture, les jeux vidéo, internet. Mais si un enfant apprend dès son plus jeune âge qu’il peut être heureux par lui-même, jouer, lire et imaginer, il aura une des compétences les plus importantes. Permettez à vos enfants d’être seul dès leur jeune âge. Donnez-leur de l’intimité, ayez des moments (comme le soir) où les parents et les enfants passent du temps seul.

7. Compassion. Une des compétences les plus importantes qui soient. Nous en avons besoin pour bien travailler avec les autres, pour nous occuper des autres, pour être heureux en rendant les autres heureux. Développer la compassion est la clé. Ayez de la compassion pour votre enfant à tout moment, et pour les autres. Montrez leur l’empathie en leur demandant comment ils pensent que les autres se sentent, et en disant à votre tour comment vous pensez que les autres pourraient se sentir. Montrez à la moindre occasion comment alléger les souffrances des autres quand vous le pouvez, comment rendre les autres plus heureux avec un peu de gentillesse, comment cela peut vous rendre plus heureux en retour.

8. Tolérance. Trop souvent nous grandissons dans une zone isolée, où les gens se ressemblent globalement (du moins en apparence), et quand nous entrons en contact avec des gens qui sont différents, cela peut être inconfortable, choquant, cela peut faire peur. Exposez vos enfants à des gens de toutes sortes, de différentes races, différentes sexualités, différentes conditions mentales. Montrez-leur que non seulement ce n’est pas grave d’être différent, mais que les différentes devraient être célébrées, et que la variété est ce qui rend la vie si belle.

9. Gérer le changement. Je crois que cela sera une des compétences les plus importantes quand nos enfants grandiront, car le monde est en constante évolution, et être capable d’accepter ce changement, de gérer ce changement, et de voguer sur le flux du changement, sera un avantage indéniable. C’est une compétence que j’apprends encore personnellement, mais je trouve que cela m’aide considérablement, en particulier par rapport à ceux qui résistent et ont peur du changement, qui fixent des objectifs et des plans et essayent de s’y tenir de façon rigide pendant que je m’adapte à un paysage changeant. La rigidité est moins utile dans un environnement changeant que la flexibilité, la fluidité, le flux. Là encore, montrer cette compétence à votre enfant à chaque opportunité est important, et leur montrer que les changements ne posent pas de problèmes, que vous pouvez vous adapter, que vous pouvez découvrir de nouvelles opportunités qui n’étaient pas là avant, devrait être une priorité. La vie est une aventure, et les choses se passeront mal, se dérouleront différemment de ce à quoi vous vous attendiez, et brisera tous les projets que vous avez – et cela fait partie de l’intérêt de tout ça.

Nous ne pouvons pas donner à notre enfant un ensemble de données à apprendre, le préparer à une carrière en particulier, quand nous ne savons pas quel sera le futur. Mais nous pouvons les préparer à s’adapter à tout, à tout apprendre, à tout résoudre, et dans 20 ans environ, à nous en remercier.
Source

Jalousie dans l’amour

jalousie-dependance-affective-couple-maladive

La jalousie est l’aliment et le poison de l’amour. C’est elle qui fait les amants délicats et les maîtresses emportées. Quand elle est douce et modérée, on ne l’entend se plaindre qu’avec retenue, on ne la voit soupçonner qu’avec précaution : aussi enfant que l’amour, elle se joue avec lui, et le corrige en badinant : c’est sous cette forme, c’est sous ces traits, qu’il faut l’admettre dans un commerce tendre. Fuyez-la quand, sur les pas des furies, elle se précipite un poignard à la main, quand elle gémit, quand elle crie auprès du tombeau qu’elle a creusé, et qu’elle mêle son sang avec celui qu’elle a fait répandre. Astrée inquiète, est bien plus aimable que Médée furieuse. Il faut être délicat, et jamais jaloux. La délicatesse est toujours tendre ; la jalousie est souvent cruelle.
Citation de François-Joachim de Pierre de Bernis ; Réflexions sur les passions (1741)

Pink feat Nate Ruess – Just Give Me A Reason

{Donne-moi juste une raison}

[Pink:]
Depuis le début
Tu étais un voleur tu as volé mon cœur
Et moi ta victime consentante
Je t’ai laissé voir des parties de moi
Qui n’étaient pas toutes reluisantes
Et par petites touches tu les as réparées
Maintenant que tu as parlé dans ton sommeil
OH, OH
Des choses que tu ne m’avais jamais dites
OH, OH
Dis-moi que tu en as assez
De notre amour, notre amour

[Refrain:]
Donne-moi juste une raison
Une toute petite sera suffisante
Juste une seconde, nous ne sommes pas brisés mais juste tordus
Et nous pouvons apprendre à aimer à nouveau

C’est dans les étoiles
C’est écrit sur les cicatrices de nos cœurs
Nous ne sommes pas brisés, mais juste tordus
Et nous pouvons apprendre à aimer à nouveau

[Nate Ruess:]
Je suis désolé je ne comprends pas d’où tout cela provient
Je pensais que nous étions bien
(Oh nous avions tout)
Tes pensées se déchainent à nouveau
Ma chère nous avons toujours tout
C’est seulement dans ta tête
(Ouais mais quelque chose est en train de se passer)
Tu as eu de vrais mauvais rêves
OH, OH
Tu avais l’habitude de te coucher si près de moi
OH, OH
Il n’y a rien de plus que des draps vides
Entre notre amour, notre amour, oh notre amour, notre amour

[Refrain:]
Donne-moi juste une raison
Une toute petite sera suffisante
Juste une seconde, nous ne sommes pas brisés mais juste tordus
Et nous pouvons apprendre à aimer à nouveau

Je n’ai jamais arrêté
Tu es toujours inscrite sur les cicatrices de mon cœur
Tu n’es pas brisée juste tordue
Et nous pouvons apprendre à aimer à nouveau

[Pont:]
Oh les flots de larmes et la rouille
J’arrangerai ça pour nous
Nous avons accumulé la poussière mais notre amour est suffisant
Tu le contiens
Tu te sers un verre
Non rien n’est aussi mauvais que cela paraît
Nous irons bien

[Refrain:] X2
Donne-moi juste une raison
Une toute petite sera suffisante
Juste une seconde, nous ne sommes pas brisés mais juste tordus
Et nous pouvons apprendre à aimer à nouveau

C’est dans les étoiles
C’est écrit sur les cicatrices de nos cœurs
Nous ne sommes pas brisés, mais juste tordus
Et nous pouvons apprendre à aimer à nouveau

[Pink:]
Oh nous pouvons apprendre à aimer à nouveau
Oh nous pouvons apprendre à aimer à nouveau
OH, OH
Que nous ne sommes pas brisés juste tordus
Et nous pouvons apprendre à aimer à nouveau

Je vais t’aimer

Voici mon ressenti envers mon épouse… malgré tout ce qui a fait que… Je t’aime sabrina

A faire pâlir tous les Marquis de Sade,
A faire rougir les putains de la rade,
A faire crier grâce à tous les échos,
A faire trembler les murs de Jéricho,
Je vais t’aimer.

A faire flamber des enfers dans tes yeux,
A faire jurer tous les tonnerres de Dieu,
A faire dresser tes seins et tous les Saints,
A faire prier et supplier nos mains,
Je vais t’aimer.

Je vais t’aimer
Comme on ne t’a jamais aimée.
Je vais t’aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé.
Je vais t’aimer. Je vais t’aimer.

Je vais t’aimer
Comme personne n’a osé t’aimer.
Je vais t’aimer
Comme j’aurai tellement aimé être aimé.
Je vais t’aimer. Je vais t’aimer.

A faire vieillir, à faire blanchir la nuit,
A faire brûler la lumière jusqu’au jour,
A la passion et jusqu’à la folie,
Je vais t’aimer, je vais t’aimer d’amour.

A faire cerner à faire fermer nos yeux,
A faire souffrir à faire mourir nos corps,
A faire voler nos âmes aux septièmes cieux,
A se croire morts et faire l’amour encore,
Je vais t’aimer.

Je vais t’aimer
Comme on ne t’a jamais aimée.
Je vais t’aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé.
Je vais t’aimer. Je vais t’aimer.

Je vais t’aimer
Comme personne n’a osé t’aimer.
Je vais t’aimer
Comme j’aurai tellement aimé être aimé.
Je vais t’aimer. Je vais t’aimer.

Et oui n’aillons pas peur d’avouer ce qui est inavouable…

Merci au lecteur, car grâce à eux je n’ai pas peur de m’ouvrir complètement afin de me partager entièrement.

David

Le puzzle

Un scientifique, préoccupé par les
problèmes dans le monde, était résolu à
trouver les moyens de les réduire. A
cette fin, il passait ses journées dans
son laboratoire.

Un jour, son fils de 7 ans envahit
son sanctuaire, bien décidé à aider son
papa à travailler… Mais le
scientifique, agacé par cette
interruption, demanda à l’enfant
d’aller jouer ailleurs.
Au bout d’un quart d’heure, le petit
était toujours là, tournant autour de
son père, observant chaque machine,
chaque pipette, à l’affut de la
première bêtise à faire.

Pour distraire son fils, le
scientifique rusa : il prit une revue
de géographie dans laquelle figurait
une belle carte du monde, s’empara
d’une paire de ciseaux, découpa la
mappemonde en 50 morceaux et donna le
tout à l’enfant.

– A toi de jouer fiston. Puisque les
casse-têtes te plaisent, voici un
puzzle que tu devras reconstituer tout
seul !

Le scientifique pensait que ce
subterfuge lui assurerait une bonne
matinée de calme.
Pourtant, au bout d’une heure,
l’enfant appela calmement son père :

– Papa, j’ai terminé le puzzle.

Au début, le scientifique ne releva
même pas la tête de sa paillasse. Il
était impossible qu’un enfant de 7 ans
ait pu recomposer cette carte aussi
vite.

– Papa, viens voir, j’ai terminé !
lança à nouveau le petit.

Intrigué, le père s’approcha de
l’enfant. A sa grande surprise, la
carte était complète ! Tous les
morceaux avaient été placés dans
l’ordre. Comment était-ce possible ?

– Fiston ? Tu ne sais même pas lire
une carte du monde… Comment as-tu
réussi à assembler les morceaux ?

– C’est vrai papa, je ne sais pas
comment est le monde, mais quand tu as
détaché la carte de la revue pour la
découper, j’ai vu que, de l’autre côté,
un monsieur était dessiné. Donc, j’ai
retourné les morceaux de la carte pour
assembler le bonhomme. Je savais qu’en
retrouvant l’homme, je retrouverai le
monde.

________________________

« La planète va mal, le climat est
bouleversé, le monde est déréglé… »
Nous entendons ces messages
inquiétants à longueur de journée. Dans
les émissions radios et télé, les
scientifiques ont la part belle.

La situation, c’est vrai, semble
préoccupante, mais la solution ne
viendra ni des climatologues ni des
géographes. Ils ne peuvent qu’observer
le monde et non régler ses problèmes.

Le salut du monde se trouve en
l’homme, en chacun de nous. Car c’est
en réglant nos propres appétits, en
révisant nos modes de vie et de
consommation que nous sauverons la
planète.

« L’homme, c’est l’univers en
miniature. L’homme et le monde sont
interdépendants. L’homme est le garant
de l’équilibre de la création. »
Amadou Hampâté Bâ

L’action de la pensée Créative

Bonjour à tout les lecteurs,

Voici un peu de nos nouvelles, pourquoi ce titre vous me demanderez …

Tout simplement car l’action de ma pensée créative et créatrice est en pleine action. Les 1er effet s’en font sentir hihihihihi, les pauvres… Reste encore un petit être à qui … hummmm quand on dit que l’on recolte ce que l’on seme, il va s’en dire qu’il va sentir les effet et franchement comme il le faut.

Car ma pensée créatrice a été très demandeuse pour sa personne, la vie m’a appris que les plus grosses leçons ne se donne par le toucher mais par une force que peu de personne connaissent…. LA FORCE CREATRICE mon ami…. hahahahahaha merci en tout cas pour tout.

On dit aussi que de parlée des gens qui nous ont fait souffir, c’est les faire exister, et bien exite mais plus pour longtemps.

je dois quand même remercie la vie, pour la naissance de mes 3 enfants et nous sommes en phase d’adoption, mais surement pas un pareille à toi ….

J’aime la vie tel quel est profite bien des moments présent comme j’ai profiter en mon temps…

Voilà je vous reviendrai certainement bientôt ben oui il y a une suite hun….

le petit david alias ledieugreczeus

Pourquoi mon absence sur ce magnifique blog !!!!!

Bonjour cher lecteur,

Ce petit poste pour m’excusez de mon absence, du au fait que j’ai eu un moment de mise en réflexion. Notre famille s’est agrandie…

Nous sommes maintenant : Tulia 5 ans, Ucillia 2 ans et demi, et le petit dernier Ezechiel 9 mois.

J’ai tout simplement pris du recule du au pervers narcissique dont nous avons eu l’honneur de connaître.

Cela fait partie du passer sans pour autant que ma mémoire ne se rappel pas bien-sur.

En tout cas je vous promets mon retour sur ce site.

David alias junior1975

Amour et compassion

Il devrait y avoir un équilibre entre le progrès matériel et le progrès spirituel, obtenu grâce aux principes d’amour et de compassion. L’amour et la compassion sont l’essence de la religion.

La naissance d’UCILLIA

Je vous présente UCILLIA née le 30 avril 2010 à 12h30 pesant 2,250kg et mesurant 46,5cm.

Elle est le fruit de notre amour, de l’envie de recommencer notre relation sur de bonne base, l’envie de donner la chance à une autre vie de profiter et de connaître notre famille.

David

Le stoïcisme partie 5

L’éthique

Sommaire de la section


L’éthique stoïcienne est en accord avec cette physique.

Nous connaissons plusieurs divisions de l’éthique stoïcienne :

« [Ils] divisent la partie éthique de la philosophie en plusieurs lieux : de l’impulsion, des biens et des maux, des passions, de la vertu, de la fin, de la valeur première et des actions, des fonctions propres, de ce qu’il faut conseiller et ce qu’il faut déconseiller. » (Diogène Laërce, VII, 84).

Diogène indique que cette division n’appartient pas au stoïcisme le plus ancien (Zénon de Kition et Cléanthe qui en ont traité, selon lui, de manière plus simple), mais à Chrysippe, Apollodore, Posidonios, etc. Sénèque (Lettres, 89, 14) nous apprend une tripartition de l’éthique stoïcienne :

« […] vient en premier la valeur que tu attribues à chaque chose, en second l’impulsion, ordonnée et mesurée, que tu as vers les choses, en troisième la réalisation d’une convenance entre ton impulsion et ton acte, de façon qu’en toutes ces occasions tu sois en accord avec toi-même. »

Épictète indique trois sujets de l’éthique (Entretiens, III, 2), mais qui se rapportent aux exercices que l’on doit suivre pour devenir homme de bien :

  • les désirs et les aversions : ne pas manquer ce que l’on désire, ne pas tomber sur l’objet de l’aversion ;
  • les impulsions et les répulsions, i.e. ce qui concerne la fonction propre (agir avec ordre, raisonnablement et sans négligence) ;
  • éviter l’erreur et la précipitation, i.e. ce qui concerne l’assentiment.

Les fonctions propres

L’expression fonction propre traduit le grec kathèkon, qui signifie « convenable », « devoir » (officium en latin). Ce mot a été utilisé pour la première fois en ce sens par Zénon, vraisemblablement dans un ouvrage nommé De la fonction propre (Diogène Laërce, VII 107). Selon Diogène, ce terme est dérivé de kata tinas hêkein, « convenir à certains » ; il définit la fonction propre comme une activité qui est appropriée aux constitutions conformes à la nature (Ibid.). Cette notion est le fondement de l’éthique stoïcienne ; en effet :

« Archédème disait que la fin consiste à vivre en amenant les fonctions propres à leur perfection. » (Diogène Laërce, VII, 88).

Stobée (II, 85, 13 – 86) donne cette définition de la fonction propre :

« La conséquentialité dans la vie, quelque chose qui, une fois qu’il a été accompli, a une justification raisonnable. »

Les fonctions propres s’appliquent aux plantes, aux animaux comme aux hommes. Les Stoïciens distinguent deux types de fonctions propres, celles qui sont parfaites, et celles qui sont intermédiaires.

Cicéron, dans Des termes extrêmes des biens et des maux (III), nous livre une analyse détaillée de cette notion par la bouche de Caton. Nous aimons les premiers objets qui sont appropriés par nature ; ainsi préférons-nous que les parties de notre corps soient bien disposées et entières plutôt qu’affaiblies et déformées. Nous savons donc de manière spontanée distinguer ce qui est conforme à la nature de ce qui lui est contraire : le premier penchant de l’homme le porte vers les choses qui sont conformes à la nature. De là, cette distinction : ce qui a de la valeur est en accord avec la nature et, pour cette raison, est digne d’être sélectionné. Le contraire est dépourvu de valeur et doit être rejeté.

La première des fonctions propres est de nous conserver nous-mêmes. Ainsi notre corps se développe-t-il en appropriant ses propres facultés.

Le bien

Les premiers biens sont la santé, le bien-être et tout ce qui peut nous être utile. Mais ce ne sont pas des biens au sens absolu. Le bien absolu se suffit à lui-même, il est le suprêmement utile. Il est découvert rationnellement par notre assentiment spontané à nos inclinations. Et c’est en considérant la nature universelle, en saisissant la volonté de la nature totale à se conserver que l’on comprend le bien comme raison universelle.

La vertu

Pour les Stoïciens, vertu et bien sont identiques. La vertu est désirable pour elle-même et est parfaite : elle est donc atteinte d’un coup, d’une manière complète, i. e. avec toutes ses parties. Ses parties sont, selon Zénon de Citium, des aspects d’une vertu fondamentale, la prudence. Qui a une vertu, les a toutes.

Les passions

Mais les inclinations naturelles se pervertissent, sous l’influence du milieu social, et troublent l’âme : ce sont les passions. Pourtant, si l’âme est rationnelle, toute inclination n’est possible que si elle reçoit l’assentiment de la raison. Comment expliquer les passions ? La passion est une raison irrationnelle, un jugement qui nous dépossède de notre maîtrise : l’habitude et l’éducation nous persuadent par exemple que toute douleur est un mal. Mais ressentir la douleur physique et en éprouver de la peine (mal moral) sont deux choses différentes. Ainsi le stoïcisme montre que les passions sont de mauvaises raisons de croire. L’opposition radicale entre raison et passions qu’on lui attribue n’est donc pas exacte : si les passions sont mauvaises, ce n’est pas en tant qu’elles sont différentes par nature de la raison, mais parce qu’elles sont plutôt des raisons égarées ; à l’inverse, la raison peut-être vue comme une passion droite.

Finalité de l’éthique

La morale stoïcienne peut donc se résumer ainsi :

  • le fondement de la vie morale, c’est la vie des instincts, qui nous font agir suivant l’utile ;
  • la fin de cette morale, c’est de vivre par des choix conformes à la raison universelle : vivre en suivant la nature, puisque tout arrive par la raison universelle.

Le sage

Article détaillé : sage.

À partir de là, les Stoïciens définissent un modèle parfait de conduite, incarné par le sage :

  • le sage choisit ce qui est conforme à la nature ;
  • il accomplit un devoir parfait ; i. e. il accomplit sa fonction propre ;
  • le sage est parfait en toute chose ;
  • tous les autres hommes sont des insensés (stulti en latin)

Il n’y a pas de nuance entre la perfection du sage et le caractère insensé de la vie de tous les hommes. On peut donc dire que le stoïcisme recherche une transformation de l’homme dans sa totalité : un homme purement rationnel, non pas parce que ses passions seraient éteintes, mais parce qu’elles seraient elles-mêmes raison.

La politique

Marc Aurèle

Dans la section sur les divisions de la philosophie, nous avons vu que Cléanthe faisait de la politique une division à part entière de la philosophie. Nous savons également que Zénon de Kition écrivit un livre sur la République particulièrement célèbre et admiré dans l’Antiquité. Plutarque nous en donne une idée par la description du but visé dans cet ouvrage perdu :

« La République, ouvrage très admiré de Zénon, tend à ce point principal unique, que nous ne devrions pas vivre répartis en cités ni en peuples, chacun défini par ses propres critères de la justice, mais que nous devrions considérer tous les hommes comme des compatriotes et des concitoyens, et qu’il y ait un mode de vie et un monde uniques, comme pour un troupeau nourri ensemble dans le même pâturage sous une loi commune. Zénon a écrit cela comme s’il avait brossé le tableau d’un songe ou d’une image représentant une bonne législation et une république philosophiques. » (De la fortune d’Alexandre, 329 A – B).

Influence du stoïcisme

L’influence du stoïcisme sur les cultures grecque et romaine est considérable, rares furent les penseurs antiques à ne pas critiquer cette doctrine.

Cette influence continua même après la conversion de l’Occident au christianisme, certains monastères ayant ainsi érigé le manuel d’Épictète, quelque peu modifié, en règles intérieures.

Le stoïcisme se perpétua aussi à travers des philosophes français tels Descartes, qui déclara que « il vaut mieux changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde »[15], Pascal et, plus proche de nous, Émile Bréhier.

Principales périodes du stoïcisme

  • Ancien stoïcisme (Zénon de Kition, le fondateur, Cléanthe, Chrysippe, …)
  • Moyen stoïcisme (Panétius, Posidonius…)
  • Stoïcisme impérial (Sénèque, Epictète, Marc Aurèle, …)